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Adriel Boka, le photographe des stars

Patience, professionnalisme, passion et le meilleur pour la fin : la grâce de Dieu », tels sont les clés du succès selon notre entrepreneur. Il n’est plus à présenter, nous l’avons reçu dans le magazine N°30, aujourd’hui nous vous proposons la version 2022 de Monsieur Boka Stephanas Adriel.
Aujourd’hui marié et père de 2 beaux enfants, il y a tout de même certaines choses qui n’ont pas bougé. En effet, notre entrepreneur exerce toujours dans le domaine de l’audiovisuel avec un focus sur la photographie. Cependant, avant d’en arriver là, il est important de comprendre la genèse.
Après avoir étudié en infographie, Adriel a choisi de mettre ses talents et compétences au service de son église, et ce, de manière bénévole. Pour uniques outils : un appareil photo numérique, appartenant à son père, et un ordinateur familial. En exerçant sa passion tout en la mettant au service de Dieu, c’est tout naturellement que notre entrepreneur à vu son projet béni dès
les prémices. Et comme tout travail mérite un salaire, il recevait des sous de l’église ce qui lui a permis, de fil en aiguille, d’acquérir son indépendance. Aujourd’hui, c’est dans un objectif d’accomplissement de soi qu’il a abandonné son statut d’indépendant pour constituer son entreprise « B Studio’s » dont le nom lui a été inspiré par son bras droit Guy Serge Blé.
« Croire en ses rêves et se lever pour les réaliser sans attendre qui que ce soit », c’est ce qu’Adriel nous conseille à tous puisque, selon lui, le bonheur de chaque jeune se trouve en sa capacité et sa volonté à vouloir l’atteindre.
Pour ce faire, Monsieur Boka n’hésite pas à préparer, à l’avance, ses journées de travail et ce avec beaucoup d’enthousiasme, de réflexion et d’organisation. Il entretient également ses comptes sur les réseaux sociaux de manière à susciter l’engouement auprès des abonnés. Cela lui a valu plusieurs projets en collaboration avec des institutions telles que la banque Mondiale,
la marque de véhicules Tata Motors, les Grands moulins d’Abidjan ou encore la marque de téléphonie mobile Infinix.
Notons aussi que tout success story ne peut se réaliser sans difficultés. Pour ce qui est du domaine de la photographie, Adriel en relève 3, assez récurrentes, que sont :

  • le manque de professionnalisme de certains
    clients
  • le manque de matériel adéquat pour le développement
    de certains projets
  • le manque de main d’œuvre qualifiée et/ou investie
    dans le métier.

Néanmoins, pour compenser ces carences, on en revient encore et toujours aux fameuses clés du succès : « Patience, professionnalisme, passion et grâce de Dieu ».
Notre entrepreneur s’amuse aussi ! Entre ses voyages, écouter de la musique et découvrir de nouveaux restaurants, tous les moyens sont bons pour décompresser. Parce qu’être entrepreneur ce n’est pas qu’entreprendre c’est aussi se détendre pour mieux entreprendre.
C’était BOKA STEPHANAS ADRIEL pour IPM.